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 Et Dieu créa LA femme [Irène/Sherlock]

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MessageSujet: Et Dieu créa LA femme [Irène/Sherlock] Et Dieu créa LA femme [Irène/Sherlock] EmptyJeu 3 Juil - 22:54

Peut-être bien que Londres était plongé en plein milieu de l'après-midi. Peut-être bien que l'heure était à la dégustation du thé et au goûter pour les plus jeunes de Britanniques. Une seule chose était sûre dans tout ça : ce n'était pas l'heure tardive qui allait empêcher Mr Sherlock Holmes d'aller chercher des frites. En plus il connaissait un merveilleux fish and chips qui lui mettait toujours une bonne portion – ça a du bon parfois d'aider certaines personnes à monter leur étagère. À part son thé du matin, Sherlock n'avait rien dans le ventre. Il était resté vautré plusieurs heures dans son canapé, les mains tendues sous le menton, comme à son habitude. Et il avait réfléchi. Beaucoup réfléchi. Les événements de ces derniers temps n'avaient cessé de harceler son esprit déjà bien occupé par les affaires qui venaient et repartaient au fil de la clientèle.

Cela dit, ceci ne l'empêchait pas non plus de réfléchir à la situation de son frère, Mycroft. À la guerre froide entre Killigan et Moriarty. Et surtout, à l'hypothétique danger dans lequel il plaçait encore une fois John et Mary. Bien sûr, l'amour du risque ne lui permettait pas de craindre réellement pour sa propre personne. Mais pour une fois, une question le taraudait et pour l'instant, il n'avait aucune réponse à celle-ci : où tout cela allait les mener ? Encore, pour ce qu'il s'agissait de Moriarty, il pouvait encore établir tout un tas d'hypothèses, ou plutôt de vérité aléatoire comme il préférait les appeler. Néanmoins pour Killigan, c'était tout à fait autre chose. Finalement, Sherlock le connaissait très peu. Même si le jeu était excitant, les dangers les menaçaient bel et bien. Ne serait-ce que pour Mycroft. Cela faisait un bout de temps que Sherlock ne lui avait pas parlé. Les sarcasmes de son frère ne lui avaient pas manqué, mais il devait bien avouer que parfois, l'aîné des Holmes avait quelques utilités.

Ainsi, il était resté un moment à faire aller ses méninges. Trouver aucune réponse finit par l'agacer tant qu'il se mit même à attraper son arme à feu pour rajouter quelques trous supplémentaires au mur. Malheureusement, à peine au premier coup, Mrs Hudson avait déboulé dans la pièce en vociférant des tas de choses inutiles. En fait, Sherlock était bien incapable de vous répéter ce qu'elle lui avait dit, il n'en avait pas écouté un mot. Après ça, il s'était tourné vers son laboratoire improvisé. Combiner œil humain et queue de rat ne lui avait pas pris bien longtemps. Une fois qu'il plongea tout ça dans de l'azote et qu'il les enferma dans le réfrigérateur, il s'était rendu compte que l'après-midi était déjà bien avancé et qu'il avait surtout très faim.

La chasse au fishs and chips ne prit guère longtemps et à peine 20 minutes plus tard, il franchissait à nouveau le seuil de Baker Street pour voir si sa création démentielle avait évolué, les bras occupés par son paquet de nourritures. Néanmoins, il n'eut pas le temps de monter les escaliers que Mrs Hudson l'intercepta. Cette fois-ci, il prit la peine de l'écouter. Elle avait un air quelque peu inquiet.

« Sherlock, il faut que je vous dise. Une femme est arrivée pendant votre absence, elle souhaitait vous voir. Je l'ai fait monter dans votre appartement. Elle ne m'a pas dit son nom. »

Sherlock lui répondit à peine et reprit son chemin. À chaque nouvelle marche, il essayait de distinguer une odeur particulière qui lui permettrait d'identifier la visiteuse, mais la nourriture n'aidait pas à la tâche. Arrivé devant sa porte, il poussa la porte avec un mouvement théâtral pou apercevoir sa visiteuse.
La surprise pris possession de son visage le temps d'une seconde lorsqu'il la vit. Irène Adler. LA femme.

« Bonjour, fit-il comme si elle n'était pas censée être à l'autre bout du monde à l'heure qu'il était. Vous avez réussi à revenir à Londres finalement ? »

Cette question était purement rhétorique bien sûr, mais il était réellement curieux de connaître les raisons de la présence de la Dominatrix. Il tentait par-dessus tout de ne pas montrer le trouble que provoquait la femme sur sa personne.
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MessageSujet: Re: Et Dieu créa LA femme [Irène/Sherlock] Et Dieu créa LA femme [Irène/Sherlock] EmptyVen 4 Juil - 0:48

Quitter Londres ce n’était aucunement ce que La Femme avait voulu qui lui arrive. Irène était bien dans cette petite ville de Londres à vrai dire elle aimait l’endroit qu’elle avait trouver avec cette « assistante » qui était avec elle dans cette maison et qui l’aidait quoiqu’il arrivait. Elle faisait ces petites affaires, elle s’occupait tranquillement sans embêter le monde enfin sans embêter ceux qui ne l’intéressaient pas pour le moment. Voilà que le simple fait de devoir se mêler d’une affaire dans laquelle notre cher Sherlock avait le nez pour qu’elle finisse finalement par devoir quitter ce petit nid douillet pour s’exiler ailleurs. Certes le monde est bien à visiter mais notre cher Irène se portait bien dans son petit endroit pour l’instant et elle n’avait pas du tout en tête de le quitter. Cependant on ne peut pas tout le temps faire ce que l’on désire et malheureusement pour elle, elle l’avait apprit à ses dépends. C’est donc sur le continent américain qu’elle a dut trouver refuge après que Sherlock Holmes l’ai aidé à fuir alors qu’elle devait être exécuté. Le continent américain avait beau être l’endroit où elle se trouvait depuis quelques temps bien entendu par obligation ce n’est pas pour autant qu’elle parvenait à s’y faire. A vrai dire elle avait rapidement songé qu’il fallait qu’elle trouve une idée pour pouvoir revenir à Londres. Elle savait également qu’elle devait se faire oublier, qu’elle était dans l’obligation de faire attention si elle désirait sortir et que personne ne devait tomber sur elle. Par personne il est question des personnes qui pourrait vouloir lui porter atteinte.

Autant dire que sortir incognito ou de manière très couverte était la solution la plus adaptée malgré le fait que ce ne soit pas du tout agréable pour notre chère femme. Finalement ce qui occupa la majorité de son temps c’est de savoir comment elle allait pouvoir rentrer sur Londres. Il était hors de question qu’elle finisse ses jours dans ce lieu d’exil. L’idée était de prendre de nouveau contact avec Sherlock par tous les moyens possibles. En parlant de tous ces moyens possibles autant vous dire qu’Irène a tenté d’avoir recours à beaucoup d’entre eux mais sans succès. Elle savait qu’il pourrait l’aider à revenir sur Londres ou du moins qu’il aurait peut être un soupçon d’idée qui pourrait lui faire germer à son tour le restant de l’idée. Enfin bref elle espérait que cet autre grand cerveau allait pouvoir compléter le sien. Cependant pour qu’une telle chose arrive il faut déjà que la personne daigne répondre ou permette au contact de s’établir ce qui n’avait malheureusement pas put se faire. Elle ne perdait pas espoir de parvenir à joindre l’homme qu’elle avait en tête, celui qu’elle jugeait être le plus apte à la faire revenir a bercail. Malgré les tentatives de contact vaines, elle parvint à revenir à Londres. C’est hier au soir, disons tard dans la nuit qu’elle débarqua dans une petite planque. Un endroit tout à fait miteux et qu’elle savait d’avance qu’elle ne pourrait pas supporter de rester plus longtemps. Débarquer dans la nuit et se déplacer était la meilleure solution pour ne pas se faire avoir du moins pour le moment le plan semblait fonctionner.

Dès qu’elle le put le lendemain et encore une fois de manière très camouflée, elle se rendit au 221B Baker Street là où réside le célèbre Sherlock Holmes, connu pour son don et sa facilité à résoudre des affaires que même Scotland Yard n’arrive pas à faire enfin pas seul. Bref tout ça pour dire qu’elle a débarqué là-bas. Malheureusement pour elle Sherlock n’était pas là mais ce n’est surement pas cela qui allait convaincre notre chère Irène de faire demi-tour. Elle s’entêta à ne pas quitter les lieux et à attendre le plus jeune des Holmes et le plus rusé à son domicile. C’est donc dans les appartements de ce dernier qu’elle est à présent en train de patienter. Elle connait les lieux, ces derniers sont loin de lui être inconnus. Irène a déjà dormi dans la chambre de Sherlock alors que ce dernier ne s’y trouvait pas, squatter la salle de bain et s’être trainé en sortie de bain ou même robe de chambre dans le salon. Autant dire qu’elle pourrait même faire comme chez elle sans le moindre problème. La surprise qui s’afficha sur le visage de Sherlock fit à vrai dire plaisir à Irène qui ne dit rien.

« Bonjour »

Elle le regarda prendre place dans ses appartements et écouta ce qui sortait de sa bouche. Quelle question, s’il la voit c’est qu’elle est bien présente mais bon surement une manière d’amener sur le tapis le pourquoi du comment.

« Oui et on peut dire que ce n’est pas grâce à vous. Je n’ai cessé de tenter de vous contacter afin de revenir mais étant donné que vous n’avez daigné répondre à ma requête j’ai certes prit plus de temps que je ne l’aurais désiré mais je suis tout de même ici. Le résultat est le plus important. Vous pourriez peut être vous rattraper en m’aidant à trouver un endroit où passer mon temps autre que ce trou miteux où je suis depuis cette nuit…ce sera déjà un bon début. »

Elle lâcha cela avec un sourire comme elle sait en servir lorsqu’il s’agit de parler à Sherlock.
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MessageSujet: Re: Et Dieu créa LA femme [Irène/Sherlock] Et Dieu créa LA femme [Irène/Sherlock] EmptySam 12 Juil - 0:28

Ce ton autoritaire, Sherlock le connaissait que trop bien. La Femme était toujours aussi fidèle à elle-même. Avec une prestance exemplaire, elle savait affirmer sa présence et montrer sa domination. Toutefois, cela n'empêcha Sherlock de faire un pas en sa direction d'une démarche fière et assurée. Il savait comment elle fonctionnait, ses faiblesses et ses forces. Irène s'était déjà permise d'envahir son appartement et de prendre ses aises une fois, rien ne l'empêcher de le faire une seconde fois si elle le souhaitait.
La Dominatrix était une des rares personnes à avoir eu du pouvoir sur le détective. Sherlock ne l'avait pas oublié. Même s'il répugnait à l'avouer, lui aussi avait ses faiblesses et ses points de pression. Néanmoins, il n'était plus tout à fait le même qu'il avait deux ans. Irène n'était plus non plus cette femme indescriptible qu'il avait eue auparavant sous les yeux. Bien évidemment, tous ses secrets étaient loin d'être dévoilés. Un jeu encore bien excitant pour Sherlock. Cette femme était une mine d'or pour lui.

Lorsqu'il l'avait sauvé, sous les jougs des Balkans, leur au revoir avait eu le goût d'un adieu. Toutefois, cela aurait été se leurrer de croire que la Miss Adler n'interviendrait pas à nouveau dans la vie du détective. Il l'avait vu su lui-même. Cela dit, il fut étonné de voir que ce fut si tôt. Après tout le remue-ménage de Londres, la période n'était pas la plus adéquate pour faire son grand retour. Surtout lorsqu'on ne figure pas dans les bonnes grâces d'un des plus dangereux criminel de l'Angleterre. Le fait qu'elle-même soit parvenue jusqu'à lui avivait la flamme de l'arrogance de Sherlock. Ses messages ? Bien sûr qu'il n'y avait pas répondu ! Après tout, il n'aurait rien eu à y gagner de le faire. La demoiselle était en exile, déclarée morte. Commencer à entretenir une conversation longue distance aurait pu griller sa couverture. C'était là l'une des raisons du silence de Holmes. Mais il n'y avait pas que ça. Moriarty, son faux suicide, le démantelage du réseau, Magnussen. Il avait eu tant à faire qu'Irène n'était plus au programme. Pourtant, elle avait toujours sa place dans son Palais Mental, refusant de la laisser partir définitivement.
À présent, le silence était fini. Irène était parvenue jusqu'à lui, comme la mouche se piège les ailes dans la toile de l'araignée. Comme le moustique par la lumière qui finira pas le griller. À cette auto-flatterie muette, un sourire amusé et moqueur étira ses lèvres. Il posa ce qui encombrait ses mains sur le bureau épuisait par le poids de la paperasse. Irène avait une manière bien à elle de fêter leur retrouvaille. Ce n'était pas pour l'en déplaire. Mais de là à croire qu'il était un agent immobilier, il y avait une sacrée marge. De ses doigts fins, il attrapa le journal du jour qui menaçait de chuter au sol et tapota le papier distraitement.

« Eh bien, vous y êtes parvenu sans moi finalement, remarqua-t-il sans pour autant s'étaler plus longtemps sur le sujet fâcheux de son silence. Il s'approcha un peu plus de la femme pour pouvoir lui tendre le journal. Des offres immobilières sont publiées à l'intérieur, vous y trouverez sûrement votre bonheur. »

Une fois libre du journal, il noua ses mains dans son dos et posa ses yeux joueurs avec intensité sur ceux de la femme. Bien sûr, la réponse qu'il venait de lui donner n'était pas à la hauteur de ce à quoi elle s'attendait. Sherlock jubilait même à cette idée. Ce geste simpliste était pour lui un moyen de prouver qu'il n'était pas son jouet, ni sa propriété. Jusqu'à preuve du contraire, elle n'avait pas l'autorité pour venir le troubler et demander asile en plus de son aide. Cela dit, il ne faisait cela que pour la narguer, car la situation de la Femme n'avait jamais été inintéressante pour lui. De plus, il savait que s'il la laissait repartir, il y avait de grandes chances pour qu'un homme de main de Moriarty tombe sur elle. Si ce n'était pas le gang Black Moon qui projetterait de s'en servi à des fins criminelles.

« En attendant un meilleur endroit pour vous loger, vous pouvez rester ici. La deuxième chambre est maintenant libre et il vaut mieux pour votre vie que vous évitiez les rues de Londres prochainement. Cet appartement n'est pas non plus le lieu le plus sûr qui existe. Je reçois fréquemment des visites dont je me passerais bien. C'est pourquoi, il faudra vite que nous vous trouvions un autre endroit. Plus loin vous serez de moi, mieux ce sera, autant pour l'un que pour l'autre. La situation de Londres est parvenue jusqu'à vous ? Si c'est le cas, vous devriez savoir que mon temps est pas mal occupé. Et puis, votre présence constante risque de gêner quelque peu mes affaires. J'ai des clients à satisfaire. »

Et vous ne feriez que troubler ma concentration, se garda-t-il de rajouter. Si Irène occupait brièvement la chambre de John – enfin, l'ancienne chambre de John – il ne devrait pas avoir de néfastes conséquences. Enfin, si elle acceptait sa proposition, il espérait qu'elle ne prenne pas ça pour un emménagement définitif. Le pouvoir incongru qu'avait Irène sur lui pouvait le renfermer dans des états d'esprit plutôt inquiétant, ce qui n'avait rien de très alléchant à priori. Pendant plusieurs années, il avait évité d'être sous son emprise, ce n'était pas aujourd'hui qu'il allait craquer. Il détestait se sentir oppressé par une personne tierce.

Il tourna les talons pour revenir vers le bureau et montra d'un geste les frites qui allaient refroidir s'ils ne se dépêchaient pas de les engloutir.

« Servez-vous, je vais chercher les clés de l'ancienne chambre de John. »

Aussitôt dit, aussitôt fait, il sortit de la pièce pour dévaler les escaliers. Il ne lui avait pas donné la possibilité de répondre de suite à sa proposition, mais s'il allait chercher les clés, c'était aussi pour laisser le temps à Irène de réfléchir. Toutefois, le bruit fracassant de sa chute dans l'escalier ne dut pas lui permettre de se concentrer comme elle l'aurait dû. Foutu escalier ! Sherlock jura. Rien qu'en loupant une seule marche, il avait fini au rez-de-chaussée, sur les fesses. De quoi rendre furieux le détective. Néanmoins, il se releva aussi tôt, épousseta rapidement son costume et se rendit chez Mrs Hudson qui conservait les clés. Une fois cela fait, il fit demi-tour pour rejoindre Irène et connaître sa décision, si elle l'avait déjà prise.

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MessageSujet: Re: Et Dieu créa LA femme [Irène/Sherlock] Et Dieu créa LA femme [Irène/Sherlock] EmptySam 12 Juil - 17:05

Un ton autoritaire ? Vraiment ? Quoique cela ne devrait pas être étonnant pour Irène Adler qui a l’habitude de parler ainsi et à vrai dire on pourrait penser que ce ton ne la quitte jamais que c’est celui qu’elle emploi tous les jours, tout le temps, à la moindre occasion. Mais il ne faut pas voir en Irène Adler un tyran. Enfin peut être bien pour certains si cela peut faire plaisir ou lui donner une image de femme supérieur mais ce ton elle sait l’utiliser quand il est nécessaire de le faire. Ce n’est pas un robot, elle n’a pas qu’une manière de parler et d’ailleurs Sherlock Holmes sait très bien la gamme de tons dont notre chère femme dispose lorsqu’elle en a envie. On peut dire que ce dernier est d’ailleurs un des privilégiés. Bien évidemment qu’à l’époque elle avait connaissance de ce petit Sherlock Holmes qui commençait à se faire à nom et certainement pas par sa petite volonté mais plutôt par celle de son collègue et apparemment ami très proche du nom du professeur Watson. Certes elle avait quelques échos au départ mais elle ne s’en préoccupait pas à vrai dire et c’est quand il y a eut cette petite occasion que ce dernier se charge d’aller à sa rencontre que le jeu valait enfin la chandelle de jouer avec ce cher monsieur et de s’y intéresser pleinement.

Cet homme avait été et est d’ailleurs très intriguant. Elle ne regrettait pas au départ que ce dernier s’intéresse à elle tout ça parce qu’elle avait des informations importantes et capitales, des informations qui ne devaient pas être révélées au grand jour et surtout qui devait rester dans la confidence du gouvernement. Cependant avec Irène Adler en possession de ce genre d’information rien n’était sûr. Il fallait surtout faire ce qu’elle désirait afin que tout reste dans le secret. A vrai dire c’est comme de jouer avec un enfant. On ne sait jamais quand est-ce qu’elle va se décider à attaquer. On ignore totalement quand est-ce qu’Irène se déciderait à agir. C’est assez insupportable pour beaucoup de personne mais cela l’amuse beaucoup. Il en faut peur pour l’amuser et elle apprécie beaucoup les choses ainsi. Elle aime avoir le pouvoir et à vrai dire c’est parce que depuis qu’elle a commencé ces petites manigances, depuis qu’elle est la femme qu’elle est. LA FEMME et bien rien de l’arrête. Comment avoir peur de quoique ce soit quand finalement on se pense invincible, intouchable. Elle avait accepté de jouer le jeu, de prendre Sherlock Holmes dans son piège mais à vrai dire elle ignorait totalement qu’elle allait tomber elle aussi dans un piège. Un piège pas vraiment créer par ce dernier mais tout simplement un piège que la vie à inventé. Qui a été inventé pour exister dans une vie. Les sentiments. Les pulsions de son pouls l’avaient tout simplement trahie.

Cet homme avait été sa perte et à vrai dire elle se maudissait depuis ce jour. Elle était donc dans l’appartement du grand détective Sherlock Holmes. La dernière fois qu’elle y avait mit les pieds c’est quand elle pensait avoir gagner contre la fratrie Holmes elle pensait vraiment que c’était le cas jusqu’à ce que le plus jeune, jusqu’à ce que Sherlock Holmes fasse comprendre à son frère aîné que cela en était terminé pour elle. Installée tranquillement c’est sans surprise qu’elle vit la silhouette de Sherlock Holmes lui faire face. Sa démarche n’était pas inconnue. A sa remarque sur le fait qu’il ne l’avait pas du tout aidé et qu’il avait injoignable ce dernier répondit qu’elle s’était finalement bien débrouillée sans lui.

« Bien évidemment que je me suis débrouillé sans toi mon Sherlock Holmes. Je suppose que si ma tentative de revenir ici avez échouée tu n’aurais aucune peine quant à une possible disparition de ma part. »

Elle afficha un léger sourire. Surement qu’il allait lui dire que non mais n’était-ce pas lui qui s’était présentait en cachette dans le dos de son meilleur ami Watson quand cette dernière était en train de discuter avec lui et qu’il lui reprochait de cacher à Holmes qu’elle était encore vivante. En parlant d’un logement, ce dernier se contenta de lui tendre le journal qu’elle regarda du coin de l’œil, le rejetant sur la table où il se trouvait initialement.

« Hilarant, Sherlock en attendant tu es le premier à savoir que je ne suis pas en mesure de faire des démarches à visage découvert. »

Il s’était libéré du journal qu’il avait dans les mains précédemment pour le tendre à Irène cependant elle l’avait rejeté sans même prendre la peine de jeter un simple coup d’œil dedans. Il était hors de question qu’elle s’aventure à chercher un appartement. Elle demeura installée sur le fauteuil où elle se trouvait déjà lors de l’arrivée de Sherlock Holmes. Lorsque ce dernier évoqua le fait que plus loin elle était de lui et mieux cela serait, elle afficha un sourire en coin et arqua un sourcil.

« Pourquoi donc ? Monsieur Sherlock…est trop faible si je suis dans les alentours c’est ça ? Si la pensée globale amène à comprendre que je suis un poids pour ta petite personne j’en suis fortement flattée. »

Il parlait encore et encore et la proposition tournait dans la tête d’Irène. Il lui présentait alors des frites qui se trouvait non loin d’elle et qu’il avait amené de dehors lui proposant de les manger. Elle se mit à en déguster quelques unes pendant que Sherlock Holmes se rendit ailleurs apparemment pour aller chercher les clés de la chambre d’Hamish Watson. Elle entendit cependant un bruit qui l’amena à se lever pour voir ce qui se passait cependant en penchant la tête il ne se trouvait plus dans les escaliers. Il avait apparemment chuté. Cela amena un petit rire à Irène qui se contenta de retourner là où elle était tout à l’heure sans pour autant s’assoir. Lorsque Sherlock remit les pieds dans son appartement, elle se tourna vers ce dernier et avec un sourire que Sherlock devait bien connaitre elle ajouta.

« Je tâcherais de vous rendre le moins faible possible, Monsieur Holmes Junior. »
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MessageSujet: Re: Et Dieu créa LA femme [Irène/Sherlock] Et Dieu créa LA femme [Irène/Sherlock] EmptyLun 28 Juil - 19:03

Sherlock ne prit même pas la peine de répondre à la remarque d'Irène sur sa réaction quant à son hypothétique disparition. À la place, il se contenta de détourner les yeux en soupirant pour montrer son détachement face aux dires de la Femme. Si elle réfléchissait un minimum, elle savait très bien que c'était faux. S'il n'avait pas répondu à ses dizaines – voire plus – de messages, c'était surtout parce qu'il n'en avait pas vu l'utilité. La vie d'Irène n'avait pas été en danger, à ce qu'il savait. C'est en revenant en Angleterre qu'elle cherchait les ennuis. Il pouvait aider, mais réparer complètement les bêtises d'autrui était bien trop lui demander. Non pas qu'il n'en avait pas les compétences, c'était plutôt qu'il n'en avait pas l'envie. Mais là, c'était différent. C'était Irène. Qu'il le veuille ou non, il se devait de lui venir en aide. Même lui ne se l'expliquait pas vraiment. Et vous n'imaginez pas à quel point c'était agaçant pour Sherlock. Maintenant qu'elle était dans son appartement, il n'avait plus vraiment le choix.

Lorsqu'il était revenu dans l'appartement, tout en tentant sa chute lamentable. Il espérait qu'elle se soit enfin décidée. C'était la seule proposition qu'il lui ferait. De toute manière, c'était la meilleure qu'elle pouvait recevoir. Il n'avait pas oublié ce qu'elle lui avait dit précédemment. Évidemment qu'il s'était moqué d'elle avec le journal. Mais la réaction d'Irène n'était pas très plaisante. Alors le jeune Holmes fronça les sourcils et jeta un regard froid à Irène.

« Si je t'aide, j'attends de toi un peu plus de coopérations. Ne va pas croire que je vais te trouver de quoi te loger sans que tu lèves le petit doigt. Sinon, il y a des refuges pour sans-abris ou plusieurs de mes connaissances seraient ravis de t'accueillir. ». Comme pour la glacer sur place, il plongea ses pupilles claires dans les yeux d'Irène. Ce qu'il venait d'émettre n'était pas négociable. Si Irène pensait qu'il lui suffirait de poser ses fesses sur l'ancien lit de John et de laisser faire Sherlock, elle se mettait le doigt dans l'oeil. Oui, elle avait du pouvoir sur lui. La preuve, il la laissa pénétrer son appartement, et même l'investir plus longtemps. Néanmoins, il n'était pas pour autant son petit toutou et ne se laisserait pas commander de la sorte. C'était à prendre ou à laisser. Mais au moins les choses étaient claires. Et puis, comme il l'avait déjà pensé, il n'était pas agent immobilier. Bien sûr, Irène ne pourrait pas se déplacer comme elle le voudrait dans la capitale britannique, mais l'homme avait inventé des outils bien pratiques pour faire des recherches de chez soi : les ordinateurs, les téléphones, ... Ce n'était pas à Irène qu'il allait apprendre à utiliser un smartphone.

Faiblesse... C'était donc ainsi qu'Irène se décrivait par rapport à Sherlock. Elle était sa faiblesse ? En fait, il ne pouvait pas lui donner totalement tort. Elle avait réussi à le troubler là où bien d'autres avait échoué. Mais de l'eau avait coupé sur les ponts. Irène Adler était toujours l'un de ses points de pression. Mais Sherlock en avait des tas... Malheureusement.

« Oh non, lui répondit-il, tu ne me rends pas faible. Le plus gros problème est que tu risques de mettre mes clients mal à l'aise. Et j'ai beaucoup à faire en dehors de ces murs. Plus le fait qu'on soit tous les deux les proies de plusieurs personnes de cette ville, vivre dans le même lieu trop longtemps n'est pas très recommandé. Tu dois le comprendre aussi bien que moi, non ? Je préférerais donc que ce séjour soit aussi court que possible. En plus, je n'aime pas avoir quelqu'un dans les pattes en permanence, ni avoir une source de déconcentration. »

Sherlock s'arrêta là avant de se dire qu'il en avait peut-être trop dit. Savoir qu'elle le déconcentre risquait d'égayer encore plus Irène. Il soupira une dernière fois, puis attrapa une frite sur la table pour la croquer.

« Et interdiction de toucher à Mrs Hudson », ordonna-t-il après avoir avalé l'aliment.

À vrai dire, il ne pensait pas qu'Irène puisse faire du mal à la logeuse, mais ça ne faisait jamais de mal de rappeler l'évidence pour les faibles d'esprit... Certes, Irène n'en était pas une, mais ça ne faisait pas de mal dans tous les cas.

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Et Dieu créa LA femme [Irène/Sherlock]

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