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 "It's the biter bit."

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MessageSujet: "It's the biter bit." "It's the biter bit." EmptyMer 9 Juil - 14:02

"It's the biter bit."

 
Harry J. Killigan & John Watson








John fulminait. Il était sûr que Sherlock avait fait exprès de l'envoyer sur une fausse piste à l'autre bout de la ville pour le punir de n'avoir pas abandonné son travail dans la minute pour venir le rejoindre plus tôt. Enfin, il n'en était pas entièrement convaincu, mais ça ressemblait fortement à un mauvais coup de Sherlock. Il se retrouvait dans un quartier désaffecté d'anciennes usines de textile. Cela ne ressemblait pas du tout à une potentielle source d'indices sur le tueur ça. Rien à voir avec les proches de la victimes ou le genre de trucs habituels. Le détective avait pourtant vu quelque chose sur le cadavre qui lui aurait prétendument indiqué d'aller fouiller de ce côté, dans une ancienne usine : Weston & Smith. Même si tout ça lui semblait assez ridicule, Sherlock avait eu l'air suffisamment sûr de lui pour que le médecin y aille quand même. Après tout, on ne pouvait jamais savoir avec le détective et puis, si jamais il n'y allait pas par caprice et qu'il se trompait, il mettait la vie d'autres personnes en danger. Si le brun lui avait fait une mauvaise blague, John ne le laisserai pas passer ! Même s'il n'était pas d'une aide capitale à Sherlock, il lui faisait gagner un peu de temps et John se retrouvait souvent à devoir sortir à la place du détective consultant. Si le grand brun c'était moqué de lui, il n'était pas prêt de l'aider à nouveau avant un bon bout de temps !

En attendant, il fallait qu'il se calme. Ce n'était pas parce qu'il avait fait plus d'une heure de route en taxi pour une piste hypothétique qu'il devait se déconcentrer. Après tout, Sherlock l'avait peut-être envoyé sur une vraie information et il allait peut-être croiser quelqu'un de dangereux. Il fallait qu'il ouvre l’œil et qu'il furète un peu partout. John avait son arme avec lui, coincée entre sa ceinture et son dos sous son manteau. Il traversa un grand espace désert qui devait être l'ancien parking des employés et tira sur une lourde porte en ferraille pour entrer. Elle fit un bruit de tous les diables  qui raisonna un moment dans l'édifice tant elle était rouillée. Discret, John. Très discret. C'était un grand entrepôt d'un seul bloc possédant un étage interieur. Il y faisait assez sombre, car la lumière, déjà peu présente sous le temps nuageux de Londres, ne passait pas vraiment à travers les carreaux couverts de poussière. John entra doucement dans l'édifice. L'odeur de poussière était omniprésente et l'air semblait plus opaque que celui de l'extérieur. Le rez-de-chaussée était une immense salle avec une impressionnante ligne de machines en son centre. À sa droite se trouvaient de grandes tables toutes encore parfaitement alignées, qui avaient dû soutenir de lourdes machines à coudre. John imaginait les femmes en train de coudre les morceaux de textiles à cette endroit pendant que les hommes travaillait sur les machines centrales afin de tresser les fils entre eux. L'étage devait être l'accès aux bureaux : il permettait aux personnes de la direction de voir toute la surface de travail et donc de repérer les ouvriers les plus lents à la tâche.

John lâcha du regard l'étage du bâtiment pour observer un peu plus la salle. Il ne voyait pas jusqu'à l'autre bout du bâtiment tant l'édifice était grand et sombre. Sa vue était d'ailleurs bouchée par un enchevêtrement de machine. Il décida de faire un tour un peu partout avant de quitter les lieux mais, il ne s'attendait vraiment pas à tomber sur quoi que ce soit à présent. L'endroit avait l'air désert et personne ne semblait y avoir mis les pieds depuis un sacré bout de temps. Il y avait de la poussière partout et tout ce qui restait dans le batiment était soudé au sol et donc difficilement volable à présent. John jetait un coup d’œil aux anciens méchanisme quand il entendit un bruit. Un rat ? Ce genre d'édifice avait le poids du temps sur les épaules et craquait souvent sans qu'on comprenne pourquoi mais ce bruit semblait plus proche. Il s'avança avec plus de prudence en direction du bruit, derrière la grosse machine qui lui bouchait la vue sur le fond de la salle. Lorsqu'il put enfin voir derrière ce tas de ferraille, il découvrit une personne, de dos, toute de noir vêtue, capuche sur la tête et à ses pieds, un corps, probablement mort vu la position adoptée. Le docteur s'immobilisa immédiatement et sortit son arme le plus discrètement possible. Sherlock ne l'avait pas envoyé sur les roses mais, pile sur la scène de crime et il prenait le criminel en plein délit ! Il arma son arme dans un bruit sec et métalique tandis qu'il parlait :

- Levez les mains en l'air, jetez votre arme et pas de geste brusque, il ne vous sera pas fait de mal.

Ha ! Quand il raconterait son arrestation à Lestrade, il n'en reviendrait pas, c'est sûr ! John restait tout de même concentré. Sherlock lui en avait très peu dit -pour changer- et il ne savait rien de l'homme sous le canon de son arme.  


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MessageSujet: Re: "It's the biter bit." "It's the biter bit." EmptyMer 9 Juil - 16:55

It's the biter bit
HARRY & JOHN





Harry travaillait en solo aujourd'hui. Un peu plus tôt dans la matinée, il avait envoyé toute son équipe se faire voir, après un ratage monumental. En effet, le gang avait placé une bombe dans un grand centre commercial, et, bien sûr, la bombe n'avait pas explosé. Le leader des Black Mooniers avait, comme d'habitude, pété les plombs, et, comme d'habitude, ses agents s'étaient tous sauvés la queue entre les jambes en l'entendant vociférer. C'est donc seul qu'il était parti à la recherche d'un homme, détenant des informations compromettantes pour le gang, et qui allait certainement les donner à ce cher Jim. Il l'avait pisté en voiture sur de très longs kilomètres. Son suspect s'était senti suivi, et avait décidé de se stopper dans une vieille usine abandonnée, en bordure de Londres. Bien sûr, Harry l'avait suivi, il est réputé pour son don de pistage... Et aussi pour sa manière assez particulière de tuer. Très longue... Et très douloureuse. Ca ne ferait qu'un cadavre de plus pour Sherlock, qui connaissait son existence depuis bien longtemps déjà.

Le lâche s'était planqué dans une vieille caisse de chargement. C'est sa respiration paniquée qui l'avait facilement trahi. Harry l'avait traîné vers le milieu de la pièce, arme contre la tempe... Puis il avait fait feu, tout simplement. Il s'abaissa près de lui, puis, armés de gants, récupéra ses documents, son porte-feuille et quelques autres bricoles qu'il avait sur lui. Ne surtout laisser aucune trace. Enfin... Pour ne laisser aucune trace, il ne faut d'abord pas être vu. C'est pour cette raison qu'il sursauta en entendant la porte s'ouvrir. Il resta immobile, arme à la main, concentré et prêt à tirer à la moindre tentative hostile. Ce fut, non sans un sourire, qu'il entendit la voix lui ordonnant de lever les mains. John Watson. Le toutou de Sherlock.

Harry se tourna, mains en l'air, puis, lentement, désarma son arme, avant de la ranger. Puis il croisa les bras, un sourire narquois aux lèvres. Alors, comme ça, il était venu l'arrêter. Courageux. Et stupide. Il n'avait aucune chance face à lui. De toute manière, Harry n'était jamais réellement seul.

"Vous savez que j'ai une dizaine de snipers qui n'attendent que mon signal pour vous tirer dessus ? John Watson. Vous devriez poser votre arme, vous ne pouvez pas me stopper maintenant."

Après tout, un peu d'action ne lui ferait certainement pas de mal.


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MessageSujet: Re: "It's the biter bit." "It's the biter bit." EmptyJeu 10 Juil - 9:09

"It's the biter bit."

 
Harry J. Killigan & John Watson








Non, Lestrade ne le féliciterait certainement pas pour sa magnifique arrestation. Il n'aurait peut-être même plus l'occasion de parler à l'inspecteur après cette -mauvaise- rencontre d'ailleurs. Devant lui, à quelques mètres seulement, venait de se retourner Harry Killigan. À moins -peut-être- d'être tombé directement sur Moriarty, il n'aurait pas pu faire pire... L'homme sembla se rendre sagement ce qui soulagea un peu John, après tout, il venait peut-être de prendre un gros poisson. Du moins, c'est qu'il avait voulu croire avant de l'entendre parler. Des snipers ? John aurait voulu lever les yeux pour regarder de lui-même si ce qu'il lui disait était vrai mais, il se serait trahi en faisant cela. De toute façon, le bâtiment était sombre, il ne verrait pas forcément les tireurs s'il y en avait. Sauf s'ils avaient des lasers sur leurs armes... Ha si seulement il avait été Sherlock, il aurait peut-être su s'il s'agissait d'un mensonge ou non, par rapport au placement de ses pieds en fonction de sa tête ou quelque chose dans le genre qui n'avait aucun sens tant que le détective ne vous avez pas expliqué. Soit il était en grave danger en gardant son arme pointée sur le leader des Black Moon, soit il perdait son plus gros avantage sur lui.

Et s'il lui mettait une balle dans la tête, maintenant ? Son arme était prête à faire feu, il avait enlevé la sécurité. Juste une petite pression du doigt et les ressorts de l'arme se mettraient en place pour envoyer une balle de 9mm dans l'espace situé le nez et les lèvres. C'était la mort assurée s'il tirait là, aucune chance d'en réchapper. S'il faisait ça, John aurait surement épargné la vie de beaucoup de personnes à Londres, celle de Sherlock sans doute mais peut-être aussi la sienne et celle de sa famille. S'il tirait, que se passerait-il ? Allait-il mourir lui aussi d'une balle silencieuse dont il ne comprendrait même pas l'origine ? Il n'avait pas vraiment envie de mourir. Il y avait une famille qui l'attendait à la maison. John n'arrivait pas à faire de choix. Il décida de rester avec son arme pointé sur le visage du criminel. Il n'avait pas encore l'intention de tirer, trop de choses rentraient en ligne de compte. Son choix était encore bien trop incertain.

Mycroft le lui avait dit la première fois qu'ils s'étaient vu, la bravoure était de loin le mot le plus gentil pour dire stupidité. Peut-être avait-il raison mais, John sentait au plus profond de lui qu'il ne pouvait simplement pas baisser cette arme qui tenait la vie de Harry Killigan. Ce serait criminel de le laisser partir sans rien faire, juste par peur de mourir soit même. Il prenait un gros risque, mais s'il baissait son arme rien ne disait non plus que les snipers ne tireraient pas quand même. Il préférait donc rester comme ça

- Je ne pense pas suivre votre conseil Mr Killigan. Une seule balle et tout est fini pour vous. Pourquoi je ne le ferais pas tout de suite ? J'imagine d'ailleurs, qu'il y a une raison à ce que vous ne m'ayez pas déjà tué à l'heure qu'il est...
 


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MessageSujet: Re: "It's the biter bit." "It's the biter bit." EmptyVen 11 Juil - 13:30

It's the biter bit
HARRY & JOHN





HS : Je dédicace ce RP à Sherlock et à son défi >.<

Il était plus courageux que Sherlock celui-là. Il n'avait pas cillé, son arme toujours pointée sur lui. Okay. Au moins, il n'avait pas fait feu. Exaspéré, Harry claqua des doigts et une dizaine de points rouges apparurent sur le torse de John. Il détestait faire ça, trop de choses lui rappelant Moriarty.

"Sérieusement, baissez votre arme. Vous n'aurez même pas le temps de tirer que vous seriez déjà mort."

Harry s'assit sur une vieille boîte. Elle sentait le phacochère, peut-être contenant du fromage pourri, qui sait. Saperlipopette, les gens ne savaient vraiment plus quoi caser dans leurs entrepôts. Dans tous les cas, Harry était bien installé et ne bougerait pas, peu importe l'odeur.

"Je ne compte pas vous tuer. J'ai besoin de vous. Enfin... Juste pour atteindre Mycroft. Enfin... En fait, juste de votre bébé et de votre femme. Vous savez, l'effet de chaîne... Il y a un temps où le "je vais tuer Sherlock" ne passera plus chez Mycroft. Il suffit que je kidnappe votre bébé, et ça va vous touchez vous, puis Sherlock, puis Mycroft. Je dois m'assurer de votre docilité, vous voyez ?"

Il sourit innocemment, comme si kidnapper des gens étaient la chose la plus normale qui soit, comme se brosser les dents juste avant d'aller se coucher. Bah, si ça pouvait le faire réfléchir, pourquoi pas.

"Vous m'intéressez, vous savez. L'homme dans l'ombre. Vous luttez aussi contre Moriarty dans votre coin, pas vrai ?"

Oui, puisqu'ils étaient là, autant lui tirer des informations sur Moriarty. A défaut d'autre chose, il apprendrait certainement des choses utiles.


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MessageSujet: Re: "It's the biter bit." "It's the biter bit." EmptyVen 11 Juil - 20:38

"It's the biter bit."

 
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Bon. Très bien. Il y avait des snipers. Peut-être aurait-il du se taire et ranger son arme sagement quand on le lui avait demandé. La pression monta d'un coup en voyant tous ses petits points rouges remuant fébrilement sur son pull. Il n'avait aucune chance d'en réchapper s'il faisait le moindre mouvement contre ce fichu criminel et le pire, c'était qu'ils le savaient tous les deux. Il ne baissa pas son arme pour autant : il avait déjà réfléchi aux possibilités, elles étaient juste moins bonnes que prévu. Et puis, Killigan évoqua sa femme et sa fille. Le bras de John retomba le long de son corps immédiatement. Comme si le fil qui l'avait jusque-là tenu en l'air venait d'être coupé. Pas Mary, pas son enfant... Pendant un instant, il regretta d'avoir épousé Mary et de la mettre dans une aussi mauvaise position avec ces tarés qui passaient leurs jours à kidnapper et à tuer des gens sans que Scotland Yard n'ait son mot à dire.

John le foudroyait du regard sans dire mot. Ses mâchoires étaient contractées et son envie de le tuer ne fit qu'augmenter en voyant le sourire sur le visage de son interlocuteur. Tout ça semblait l'amuser... Le médecin ne pouvait plus prendre de risque. Même si l'homme en face de lui n'avait pas présentement posté des hommes devant chez lui, il pouvait bien avoir laissé des consignes au cas où. D'autant plus que les snipers présents avec eux n'étaient pas sourds non plus. Harry lui parla de Moriarty... Il voulait des informations sur lui ? Il allait être bien déçu.

- Vous vous trompez sur moi, je ne suis pas « l'homme dans l'ombre » juste... un ami de Sherlock.

Après tout, ce n'était pas complètement faux. Il était au courant de la plupart des faits mais, il était convaincu que le détective consultant ne lui disait pas tout. Il l'avait déjà fait par le passé et maintenant que John avait une famille et qu'il n'était pas tout le temps au 221B, la situation n'avait dû faire que s'aggraver. Pourquoi Killigan et Moriaty ne pouvaient pas simplement s'entretuer sans faire de dommages collatéraux ?

- Je ne sais pas grand-chose pour vous répondre honnêtement. Je crois que notre « ennemi » commun se fait discret depuis son retour. J'ai cru comprendre que son réseau avait été complètement détruit à part quelques fidèles et que ses anciens projets étaient tombés entre vos mains. Il ne doit pas avoir beaucoup de cartes dans sa manche à l'heure qu'il est. Mais j'imagine que vous savez déjà tout ça puisqu'il s'agit de votre plan.


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MessageSujet: Re: "It's the biter bit." "It's the biter bit." EmptyDim 13 Juil - 14:13

It's the biter bit
HARRY & JOHN





S'il y avait une chose qu'Harry détestait plus qu'une autre, c'était d'être pris pour un imbécile. Ce petit londonien de pacotille venait de lui relancer son plan en pleine face, ne lui apprenant absolument rien d'utile. Le psychopathe ferma les yeux un moment et soupira. Le hangar semblait plus sombre que jamais désormais, s'accordant parfaitement avec le regard du leader des Black Mooniers. Menaçant, il s'approcha lentement de John, en mode prédateur, juste pour l'impressionner un peu et lui montrer que sa réputation était à la hauteur de l'emballement des médias pour sa personne.

"Je vais essayer d'être clair. Je sais que vous détenez des informations, j'ai Mycroft sous mon contrôle, il vous a certainement donné des informations sur son entretien avec James Moriarty. Et ces informations, je les veux. Si vous ne m'aidez pas, je vais m'en prendre à votre famille, le plus douloureusement possible, et je vous enverrai la vidéo de leur mort. Ca vous plaîrait ? Voir votre femme se vider lentement de son sang sous les cris de votre gosse ?"

Harry n'était plus qu'à quelques centimètres de son visage. Il sortit un couteau de sa poche et frôla sa joue avec.

"Je détruirais votre vie petit à petit. Vous avez assez peur maintenant pour m'aider ?"


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MessageSujet: Re: "It's the biter bit." "It's the biter bit." EmptySam 2 Aoû - 7:58

"It's the biter bit."

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- Si vous avez Mycroft sous votre contrôle, il pourra certainement vous donnez ces fameuses informations. Je... Je ne vous défis pas.

Il sentait l'acier froid du couteau toucher la peau de sa joue et il ne put s'empêcher de serrer un peu plus la mâchoire. Un seul geste de l'homme face à lui et il serait surement défiguré à jamais, ou même peut-être lui crèverait-il un oeil pour faire bonne mesure. John avait peur, il était inutile de le nier, celui qui lui faisait face n'était pas à prendre à la légère et semblait prêt à le tuer dans la minute. Le docteur avait par chance suffisamment de sang froid et d'expérience des situations périlleuses dans ce genre pour ne pas paniquer complètement. Essayer de réfléchir, de le calmer, de sauver sa peau et ses proches. Réfléchir. Réfléchir.... Il fallait réfléchir.

- Je ne sais rien, je vous assure. Si je savais quelque chose qui puisse lui nuire, je vous le dirai bien volontiers, ça ne m'amuse pas plus que vous de le savoir à Londres mais, je n'en sais absolument rien de concluant.

Dans un instinct –idiot- de survie, John avait mis sa main dans sa poche, il voulait y prendre son portable. C’était pour se rassurer plus qu’autre chose, parce qu’il ne pouvait décemment pas appeler quelqu’un ou envoyer un sms dans la situation actuelle sans prendre le risque plus qu’imminent de mourir. Il se rendit compte que ce geste inconscient pouvait quand même porter à confusion et il retira un peu précipitamment sa main de son manteau, faisant par la même occasion tomber son portable dans un bruit très sonore dans ce grand bâtiment. Plusieurs insultes, que nous épargneront au lecteur, naquirent immédiatement dans son esprit, dont les dérivés « flûte », et « d’imbécile », « vil sot », « simple d’esprit », « petit farfadet »… John sentit une goutte de sueur fictive naitre en haut de sa colonne vertébrale et la descendre dans un sillon macabre, très lentement.

- Ce n’est pas du tout ce que vous croyez. Je sais de quoi ça à l’air, mais non.

Il allait mourir.
 

HJ:


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MessageSujet: Re: "It's the biter bit." "It's the biter bit." EmptyDim 17 Aoû - 8:22

It's the biter bit
HARRY & JOHN





Harry resta à regarder le téléphone pendant bien trente secondes. Puis, très lentement, il remonta les yeux vers Watson, qui était en train de bafouiller que, comme d'habitude, le téléphone était tombé par hasard, et bla, et bla, et bla. Comme d'habitude, dans ces cas-là, Harry tenta de rester calme, se contentant de serrer les poings. Mais bien rapidement, son visage vira au rouge, et il chopa le médecin par le col avant de l'envoyer violemment au sol. Il ramassa le téléphone, avant de le jeter dans le fond du hangar. Un bruit de verre brisé lui indiqua que l'objet était de toute évidence irrécupérable. Il ramassa son couteau qu'il avait fait tombé et se retourna vers John.

"Sherlock ne viendra pas à votre secours, ni personne d'autre. Essayez de crier si ça vous chante, je pourrai vous égorger là, sur place, et vous regarder vous vider lentement de votre sang."

Les points rouges de ses snipers s'étaient déjà déplacés sur John. Au moins, ça le dissuaderai de bouger. A vrai dire, le tuer embêtait Harry. Oui, pour l'instant, Sherlock était plus préoccupé par Moriarty que par lui, mais si le criminel en venait à s'attaquer à son médecin, il était sûr que le détective se jetterait tout de suite à sa gorge. Abruti de sociopathe. Un sociopathe qui protège des personnes qui lui sont cher n'est même plus un sociopathe de toute manière.

"On va jouer un peu tous les deux. Je viens d'envoyer un SMS à mes snipers. Si dans cinq minutes, vous ne m'avez pas dit ce que je veux entendre, Sherlock, Mary et votre bébé sont morts. Quoique. Je pourrai garder votre gosse, ça pourrait être drôle."


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