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 The swing of the criminals [PV Sebby et Pando]

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MessageSujet: The swing of the criminals [PV Sebby et Pando] The swing of the criminals [PV Sebby et Pando] EmptyVen 9 Mai - 21:31


"Unchain my heart !"
Craig chantait en jouant du piano. Chose qu'il adorait faire plus que tout au monde. Même si le fait qu'il y ait toutes ces personnes le regardant et qu'il n'aimait pas tant se donner en spectacle, en particulier depuis qu'il était "mort", le gênait quelques peu, il devait avouer qu'il y prenait son pied et faisait un bœuf avec des inconnus dans un bar un jeudi soir. Cela ne lui était pas arrivé depuis trois ans et ça lui avait manifestement manqué. Il se donnait à fond. Au moment du solo, comme il n'y avait pas de saxophoniste, il entama le solo en piano en laissant courir ses doigts sur le clavier et fit une excellente transition avec la guitare. Le guitariste (que Craig ne connaissait même pas de nom) continua sur la lancé et laissa Craig finir avec son riff final avant de reprendre la chanson et de la finir. Au final la guitare s'arrêta, puis le piano et la batterie. Quand le morceau prit fin, tous ceux qui étaient dans la salle applaudirent. Ses deux autres coéquipiers d'un soir se rassirent à leur place en laissant leurs instruments sur scène avec l'excellent pianiste qui commença à improviser sur le piano. Il laissa ses doigts pianoter avec douceur. Le morceau était doux, apaisant, un tantinet triste. Il se laissait complètement aller à ses sortes de rêveries lorsqu'il jouait du piano. Il finit le morceau avec presque une larme à l'œil. Il allait partir, mais tous le monde voulait encore le voir à l'œuvre.
Il en avait bien besoin d'ailleurs. Il avait passé une seconde semaine à Londres tout aussi éprouvante que la première. Il avait passé la semaine à courir dans tous les sens pour chercher le matériel dont il avait besoin et ces foutus équations qui n'en finissaient pas et qui le hantaient nuit et jours. Il n'en pouvait plus. Il avait bien demandé à ce qu'il ait des collègues, mais on lui avait répondu qu'il n'en aurait que s'il voulait bien intégrer le laboratoire qui était prévu pour ses recherches. L'homme continuait à dire que s'il n'avait pas de collègues, il n'en voyait pas l'utilité. Il avait donc bien mérité ce repos après tous ces jours à aller par ci, par là. Le fait de jouer comme un dingue l'apaisait et lui permettait d'oublier un peu ces foutus équations chimiques et ces rapports d'énergie. Il pouvait enfin penser à autre chose qu'à des équations.
Il prit alors la guitare et joua un blues magnifique qu'il avait appris d'un vieil ami de la famille lorsqu'il était jeune. Ce blues n'était connu que par cet ami, Craig et quelques amis de cet ami. Le rythme lent et la mélodie l'emportaient au loin tel des vagues qui l'emporterait au large des problèmes quotidiens. Le blues était simple : rythme en binaire, deux couplets, un refrain un pont deux refrains un couplet. Tous ce qu'il y avait de plus simple, mais la mélodie qu'il jouait était des plus belles et des plus harmonieuses que l'on pouvait entendre . Une fois la chanson finie il y eut encore des applaudissement et deux personnes vinrent le rejoindre sur scène pour un petit "Minor Swing".
Craig partit le premier, suivi de la batterie et du piano. Le rythme en binaire, lui aussi, était simple à adopter et très entrainant car il était plus rapide que le blues qu'il avait fait juste avant et le public ne mit pas longtemps à suivre la chanson. Un second guitariste monta sur scène au même moment et commença à improviser. Le swing du jeune homme lui plut et il redoubla d'intensité dans le jeu. Puis au beau milieu de la chanson, à la reprise de l'intro, Craig dit :
"On change !"
Le jeune homme le regarda avec un sourire et arrêta l'intro, laissant Craig la finir, tandis que lui reprenait les accords. Craig se mit alors à improviser sur le tempo du jeune homme qu'il avait à côté de lui. Il se laissa encore une fois entraîner per le rythme du jazz manouche qu'ils jouaient en ce moment même. Pendant le final, les deux jouaient l'intro en même temps avec le piano, chacun à une octave différente, ce qui produit un son profond et enivrant qui ne pouvait laisser indifférent. Le final se fit sur la même note et une cymbale qui fit vrombir toute la salle. Quand les dernières notes du piano, des deux guitares et de la batterie finirent de sonner, il y eut un tonnerre d'applaudissements sur lesquels Craig laissa la guitare sur son trépied et alla se rasseoir pour laisser la place à d'autre.
Il retourna à se place, au fond de la salle, observer les autres jouer. Ils se débrouillaient bien eux aussi. Ils avaient de bonnes chansons en stock. Craig, commanda un verre de whisky au serveur et commença à épier la salle et son, déjà, ex-public. Le serveur revint avec le whisky en disant que c'était cadeau de la maison. Il recommença à épier la salle du regard. Il y a avait un homme assis de l'autre côté de la pièce qui le fixait assez souvent. Craig se mit à l'espionner à son tour et remarqua que l'homme regardait aussi une jeune femme dans un autre coin de la salle qui elle avait l'air de regarder avec attention le spectacle de ce soir. L'homme lui parut suspect et étrange. Cependant l'homme n'était trop difficile à cerner. Le costume noir indiquait un certain goût en matière vestimentaire où plutôt une obligation dans sa profession. Ensuite son regard insistant et son apparente "détresse" dans cet endroit suggérait une agoraphobie non trop importante, sinon il serait déjà dehors depuis longtemps. Cependant, à part ça Craig ne vit pas d'autres éléments pouvant lui permettre de savoir qui il était. Craig décida alors de lui envoyer un petit message avec un verre de rhum de sa part.
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MessageSujet: Re: The swing of the criminals [PV Sebby et Pando] The swing of the criminals [PV Sebby et Pando] EmptyDim 11 Mai - 18:52

Calme, j’étais calme.

La musique avait le don de me calmer et de m’enfermer dans une bulle, dans ma bulle. Dans mon monde. Le seul endroit où je me sente vraiment en sécurité. Personne n’est capable de pénétrer dans ma bulle, heureusement. Dans cette toute petite partie d’univers où le temps se fige, il n’existe plus aucunes frontières à mes yeux, j’ai le sentiment d’être libre. Plus aucunes attaches ne me retenaient sur terre, plus aucunes contraintes. Je pouvais faire ce dont j’avais envie. Délivrée de ce poids qui m’attache à ce monde pesant, je me sentais enfin complètement vivante.

Les yeux fermés, les doigts pianotant sur la table, et le pied gauche battant la mesure, je laissais la musique s’emparer de mon corps. Le verre qui était posé sur la table était à peine entamé, pourtant il avait été commandé il y a maintenant une vingtaine de minutes. Lorsque je suis habitée par la musique, j’oublie tout. Pourtant je ne joue pas d’un instrument. J’aurais aimé apprendre le trombone ou le saxophone, malheureusement je n’ai absolument pas l’oreille musicale, ni le sens du rythme. Je me contente donc d’écouter les autres jouer. Le pianiste était véritablement doué. Voir ses doigts courir le long des touches était un spectacle absolument incroyable. J’avais cependant la sensation de l’avoir déjà vu quelque part, mais je ne parvenais pas à me rappeler de l’endroit.

Lorsque les dernières notes de piano se firent entendre, je décidais enfin de boire une gorgée de mon verre, avant de reporter mon attention sur la scène et les musiciens qui s’y présentaient. Tous n’étaient pas aussi doués que le pianiste qui venait de s’en aller, et toutes les musiques ne créeraient pas en moi cette sensation de plénitude. L’impression que ces musiciens ne vivaient pas réellement la musique qu’ils étaient entrain de jouer était flagrante, c’est décevant. S’impliquer, vivre la musique qu’on joue et qui est dans notre tête, essayer de transmettre une émotion particulière chez son publique, voila qui devrait être leur véritable préoccupation. La musique est avant tout un art que les gens pratiquent pour eux, pour leur bien-être mais aussi pour être montrée et écoutée. Du moins, quand on monte sur une scène devant des personnes, ça devrait être le but principal, faire vivre aux gens une émotion.

Une fois mon verre finit, je me dirigeais vers le bar pour en recommander un autre. Une sensation étrange s’empara de moi. J’avais la conviction qu’on me regardait, que j’étais épiée. Pourtant, en faisant un rapide tour d’horizon de la salle pour essayer de reconnaitre des gens, je ne vis personne. Le pianiste me disais vaguement quelque chose, pourtant je ne parvenais pas à me souvenir de lui.

Puis Illumination ! J’avais vu sa photo dans les dossiers de Jim Moriarty ! Je ne sais pas vraiment grand-chose de cet homme. J’ai vu son dossier, c’est tout. Etait-il dangereux ? Ou était-ce une proie que le bras droit devait abattre ? Tous les scénarios étaient envisageables. Ce pouvait-il qu’il se trouvait dans ce bar car je m’y trouvais ? Qu’il avait été engagé par Moriarty pour être sûr que je n’allais pas faire une chose qui pourrait lui nuire.

Tout était envisageable…
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MessageSujet: Re: The swing of the criminals [PV Sebby et Pando] The swing of the criminals [PV Sebby et Pando] EmptyLun 12 Mai - 18:14


Pandora&Craig&Seb ❧ swing of the criminals
Par les temps qui courent, jamais tu n'aurais cru avoir un moment de libre. Et pourtant, Jim t'a donné ta soirée. Il faut dire que vous n'avez pas grand-chose à faire ... Le réseau se redresse peu à peu, lentement mais sûrement. Vous travaillez d'arrache-pieds pour reconstruire ce qu'Harry a détruit, quitte à passer quelques nuits blanches. Mais pas ce soir. Le pire, c'est que tu ne sais pas quoi faire ... Cela fait tellement longtemps que tu n'as pas eu un moment à toi, entre le retour de Jim, la trahison de Killigan, le boulot, encore et encore ... Ta raison de vivre, quoi. Tu iras peut-être voir l'un de tes plans cul après avoir bu un verre ou deux au bar le plus proche ... Ouais, tu vas faire ça. Ou tu iras jouer aux cartes. L'idée est tentante mais pas autant que la première. Tu as besoin de décompresser un bon coup et cela semble la meilleure solution. Tu t'assures que ton boss ne se tuera pas avec le micro-onde pendant ton absence (si si, il en serait capable !) puis, enfin, tu prends tes cliques et tes claques et tu le laisses, seul, dans la chambre d'hôtel que tu as réservé il y a quelques heures.

Emmitouflé dans ton costume noir - Westwood, please - tu sors dans la rue l'air de rien. Ce n'est pas comme si tu es un criminel recherché par la police, non, pas du tout. Toujours l'air de rien, tu la remontes en esquivant les quelques passants qui se pressent pour rentrer chez eux. La nuit vient de tomber, il fait frais mais pas froid, contrairement à ce que l'on peut penser. Et le costume sur-mesure que Jim t'impose te tient suffisamment chaud, et tu n'es pas une personne qui craint les températures « extrêmes » comme certains pourraient les appeler. De toutes façons, te voilà devant le fameux pub : ne le connaissant pas encore, tu décides d'y entrer en entendant la musique s'échapper à l'extérieur.

Du piano. La douce mélodie résonne dans ta tête, surpassant la guitare et la batterie. On pourrait dire que c'est ton instrument préféré, l'ayant pratiqué des années durant - et encore aujourd'hui il n'est pas rare de te voir assis devant l'instrument posé au milieu de ta maison, caressant les touches d'un doigté expert. Ainsi t'assois-tu au bar en commandant un verre de whisky, profitant du pianiste et autres musiciens sur scène. La dernière fois que tu es sorti, tu ne t'en rappelles même pas. Tu essayes de profiter un peu mais, malheureusement, tes réflexes te rattrapent et tes sens sont en éveil. Tes yeux de tigre survolent la salle dans son ensemble, notant chaque personne et chaque objet qui s'y trouvent. Et c'est là que tu te rends compte que tu reconnais l'une d'entre elles.

Comme quoi, le travail finit toujours par te rattraper ... C'est en soupirant que tu constates que la musique s'est arrêtée. Tu vides ton verre cul-sec et, alors que tu t'apprêtes à en commander un autre, le serveur te fait passer un verre de rhum offert par, je cite, « le monsieur là-bas, le pianiste ». Haussant un sourcil, tu te rends compte que lui aussi, tu le connais. Comme quoi, le monde est petit ... Apercevant la jeune Pandora Watson d'un côté et l'Américain Craig Smith de l'autre, tu soupires une énième fois. Tu te dois de connaître chaque agent de Moriarty sur le bout des doigts afin d'éviter une catastrophe comme celle que vous avez subi il y a quelques temps. Alors tu h'hésites pas à t'approcher de cet homme, verre en main, et à t'asseoir à côté de lui. « Merci pour le verre, Mister. Et belle performance, tout à l'heure. »
©clever love.
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MessageSujet: Re: The swing of the criminals [PV Sebby et Pando] The swing of the criminals [PV Sebby et Pando] EmptyVen 16 Mai - 17:45

La jeune femme que l'homme regardait se leva pour aller chercher un autre verre et en profita pour rapporter le sien. Craig la trouvait assez agréable à regarder. Ses courbes gracieuses et généreuses plaisaient beaucoup à l'ex médecin qui ne s'en lassait pas. Il détourna les yeux lorsqu'elle regarda dans sa direction et se remit à regarder la scène. Les musiciens se débrouillaient assez bien. Ils étaient partis sur du blues cette fois-ci. Leur swing était assez bon, mais ils pourraient faire beaucoup mieux. Le piano n'était pas trop mal, mais faisait quelques minuscules erreurs. La batterie gardait un bon rythme mais ne cherchait à aller plus loin que ce qu'elle ne faisait déjà. La guitare cependant jouait très bien. On voyait qu'il ne faisait pas que jouer la musique, mais qu'il la ressentait, qu'il la vivait. Lui c'était un vrai musicien. On voyait qu'il y prenait son pieds et qu'il n'était pas là juste pour figurer. La chanson ce termina et tous laissèrent la place à un groupe de jeunes. Il se mirent à jouer du rock. Craig qui était bien plus porté sur le Jazz et le Blues, détourna son attention de la scène, bien qu'il faut avouer, ils se débrouillaient assez bien.
Il regarda alors dans la direction de l'homme de tout à l'heure. L'ex-médecin remarqua que quand l'homme lut le papier et reçut le rhum, il eut un air de lassitude à peine perceptible. D'ailleurs Craig n'y avait pas fait attention, jugeant qu'à cette distance il ne pouvait pas être précis. Cependant l'homme rangea le papier dans sa veste, prit son verre et le vit se lever. Il allait sans doutes venir à sa table, ce qui confirmerait ses soupçons envers cet homme. Je regarda alors dans la direction du bar. La jeune femme n'y était plus. Il regarda alors en direction de son ancienne place et constata qu'elle y était retournée, mais avait l'air plus soucieuse et regardait de temps en temps dans ma direction, et il n'y avait que deux possibilités à cela : soit elle craquait littéralement sur Craig (en même temps il y a de quoi :3 ), soit elle le connaissait. Après la question est : d'où le connait-il?
Craig n'eut pas le temps d'essayer de trouver d'où il la connaissait que l'homme s'était assit à côté de lui et lui disait :
"Merci pour le verre, Mister. Et belle performance, tout à l'heure.
-Merci beaucoup, beau costard !"
Le fait qu'il soit venu avait complètement confirmé ses soupçons : il était haut placé dans la hiérarchie de Moriarty :
"Vous, vous travaillez pour Moriarty n'est-ce pas?"
Craig ne lui laissa même pas le temps de répondre qu'il lui expliquais déjà comment il avait fait :
"Comment j'ai fait? Et bien c'est simple. Le costume hors de prix entièrement noir a l'air de vous servir assez souvent, pourtant vous n'avez pas l'air de l'apprécier tant que ça, c'est donc un costume de fonction. Vous aviez l'air de nous reconnaitre la jeune femme et moi, comme si vous nous aviez déjà vous auparavant, alors que je ne suis en ville que depuis deux semaines et que je n'ai vu que mes voisins. D'ailleurs je sais qui sont tous mes voisins et vous n'en faites pas partie. Enfin les deux derniers petits indices ce sont le petit air, un peu las de recevoir mon verre et le fait que vous soyez venus confirment mes théories. De plus je ne vous ai jamais vu auparavant, donc en plus de faire partie du réseau de Moriarty, vous êtes haut placé. Et j'ajouterais que la jeune femme aussi en fait partie, car vous l'avez regardé de la même façon que moi, j'ai raison?"
C'était une question purement rhétorique, Craig n'attendait pas de réponse. Il se rassit à son aise, prit son verre de whisky et en but une gorgée. Il lui vint alors l'idée d'inviter la jeune femme à leur table. Il prit alors son stylo, un autre morceau de papier et écrivit "Rejoignez-nous". Il appela un serveur et lui dit de donner ça à la femme avec un verre de champagne.
Invité Invité
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MessageSujet: Re: The swing of the criminals [PV Sebby et Pando] The swing of the criminals [PV Sebby et Pando] EmptyDim 18 Mai - 18:58

© made by Islande



Sebastian Moran vs Craig Smithvs J. Pandora Watson

The swing of the criminals


A peine avais-je fini mon verre, qu’un serveur m’apporta une flûte de champagne accompagnée d’un mot. Je n’avais aucuns doutes sur son destinataire. L’homme dont la photo était dans les dossiers de Moriarty. A ce moment, je ne savais pas quoi faire. Le rejoindre, alors qu’il venait d’être rejoins par un autre homme. Lui, je n’avais eu aucuns problèmes pour le reconnaitre. L’homme de main de James Moriarty. Sebastian Moran. Cet homme me faisait extrêmement peur. Son regard froid, dénué de tous sentiments, sa grande carrure et son aura noire qui l’entourait constamment. Cet homme était capable du pire, et ça je le savais, plus d’une fois j’en avais eu la preuve. C’est pour cette raison qu’il avait certainement réussit à se hisser très haut, qu’il avait réussit à être l’homme de main de Moriarty. Il était certainement aussi dangereux que le chef. Monsieur Moriarty élaborait les plans, lui les exécutaient, et tant pis si sur sa route se dresse des hommes, ce n’est pas un problème pour lui.

Le verre de champagne à la main, je jetais un rapide coup d’œil aux deux hommes, avant de le porter doucement à mes lèvres et de boire une gorgée. J’étais toujours entrain d’hésiter. Je voulais passer une soirée tranquille, c’était loupé. Après un léger soupir, je décidais de me lever et d’aller à leur rencontre. Je n’en avais pas forcément envie, cependant je me disais que les ignorer n’était certainement pas ce qu’il fallait faire. Monsieur Moran m’avait vu, il savait que je les avait vus. Que faire ? J’avais peur de croiser Sebastian dans un couloir sombre, seule, et qu’il me fasse une remarque. Finalement, la meilleure solution, était certainement d’aller à leur rencontre. Je pris donc sur moi, et allais vers eux.

>>Bonsoir messieurs, et merci pour la coupe.

Je m’installais sur la chaise libre, portais à nouveau ma flûte de champagne à mes lèvres avant de les regarder tour à tour. Je ne me sentais pas forcément à l’aise parmi ces deux hommes. Ma place n’était certainement parmi eux, bien que nous ayons le même chef. Je me sentais tout le temps de trop, comme si je les gênais. J’avais la vague impression qu’en ma présence personne n’ose parler, ce qui peut aisément se comprendre. La peur que je raconte tout ce que je sais à Sherlock et John est présente dans un coin de leur tête. Je suis persuadée que je ne sais pas tout, et qu’une partie du plan m’est complètement inconnu. Pourquoi risqueraient-ils de me faire connaitre une partie des plans en sachant qu’il y a une chance que j’aille tout raconter à Sherlock ?

Je ne parvenais pas à retrouver le nom du plus âgé des deux hommes. Ma mémoire ne retenait pas les prénoms. De plus, avec tous les agents qui travaillent pour le chef, il m’est encore plus difficile de retenir les prénoms.

>>Je m’excuse, mais malheureusement je n’ai pas retenu votre prénom. Dis-je au plus âgé des deux.

Loris S. Rahl Avatar : Michael Gregorio
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Loris S. Rahl
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MessageSujet: Re: The swing of the criminals [PV Sebby et Pando] The swing of the criminals [PV Sebby et Pando] Empty

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