Les ennemis de mes ennemis sont mes amis... De temps en temps. [PV MYCROFT & NATASHA]

Les ennemis de mes ennemis...

HARRY & MYCROFT & NATASHA

Ce matin-là, Harry s'était dit qu'il avait envie de voir Mycroft. Oui, comme ça, sans aucune raison. Après tout, il avait prévu depuis un bon moment d'aller lui rendre quelques comptes. Pourquoi ? Oh, juste pour le plaisir de l'embêter encore un moment, de lui faire avoir quelques sueurs froides en menaçant son frère, de continuer de le détruire petit à petit, encore et encore. Il avait attrapé Natasha au vol et avait quitté la base pour le palais de Westminster.

Comme à son habitude, Harry avait fait une entrée triomphale, en lançant une jolie bombe bourrée de chloroforme en plein centre du bâtiment. Ils étaient tous tombés comme des mouches, c'était assez drôle à voir. Puis, comme à leur habitude, les Black Mooniers étaient entrés par la grande porte, sans même prendre le temps de toquer. Peu importe si Mycroft était occupé, il y avait bien plus urgent pour le moment. Par exemple, Moriarty. Enfin... Non, ses propres intérérêts en fait. Mais peu importait. Mycroft Holmes n'était qu'un pion sur l’échiquier, et bien qu'il travaillait également pour Moriarty, il restait un outil important dans son plan final qui était celui de prendre le contrôle de l'Angleterre, puis de la planète.

"Alors, Holmes, encore en train de travailler ? Faudrait peut-être que pensiez à prendre des vacances, un jour ou l'autre."

FICHE PAR MA DOCKY D'AMOUR QUI ME MANQUE .W.

LES ENNEMIS DE MES ENNEMIS SONT MES AMIS... DE TEMPS EN TEMPS.

Harry J. KILLIGAN
Mycroft HOLMES
Natasha M. IERCHOV

Un peu de calme. C'était comme d'habitude. Mycroft se sentait mieux. Presque comme s'il avait oublié son incident avec Harry. Il soupira longuement, travaillant à son bureau. Comme d'habitude. Lorsqu'il reçu un message.
"Sorry Brother, I'm busy.
SH"
Il avait contacté son frère pour savoir un peu plus de ce qu'il se passait avec J. Moriarty. Ce qu'il s'était passé avec lui n'était pas sans dangers, et ce brun s'évada sans nouvelles. D'ailleurs en parlant de lui, il repensa à Harry. Il n'avait plus de contact depuis un bon bout de temps, ce qui soulageait Monsieur Holmes. C'est vrai que sans lui, Mycroft se comportait bien mieux, comme d'habitude. Tout allait pour le mieux dans le meilleur des mondes comme on dit.

Mais son bonheur ne dura pas longtemps. Les alarmes de sécurité se déclenchèrent, il fallait faire attention. Mycroft se redressa, regardant par la fenêtre située derrière son siège. Des bombes, de la fumée. Un groupe de personnes et juste en face, une jolie rouquine avec une tête blonde familière. Mycroft soupira encore une fois. Qu'allait-il se passer ?
Les portes s'ouvrirent d'un grand coup. Le groupe se dispersèrent un peu dans le grand bureau de Holmes. Et le duo arriva.

"Alors, Holmes, encore en train de travailler ? Faudrait peut-être que pensiez à prendre des vacances, un jour ou l'autre."

Mycroft leva ses yeux vers Harry, lui montrant qu'il n'avait pas peur, et, répondant avec la même fausse sympathie que le blond, il répondit.

Je comptais justement en prendre, mais vous m'avez enlevé ce jour là.

Jetant un regard vers la rouquine, il garda tout aussi bien son calme et il croisa ses mains ainsi que ses jambes.

Que puis-je pour vous, Mr. Killigan ?

C'était sans compter qu'il allait se faire martiriser encore un bon moment. Mais n'oubliez pas, Mycroft exprime rarement ce qu'il ressent. Et Sherlock est assez bien entouré pour être attaqué maintenant.

Les missions avec Harry s'avéraient toujours très intéressantes, mais elles l'étaient encore plus lorsque la mission incluait un génie aussi important que Mycroft Holmes. Elle se retint de sauter de joie lorsqu'il lui annonça qu'elle allait l'accompagner. Parce que oui, rester à la base et devoir surveiller Brownie pour pas qu'il se fasse étrangler par Draco ne l'amusait guère. Elle se dépêcha donc de prendre le nécessaire et ils partirent pour l'endroit où ils savaient de source sûr que l'homme le plus important du gouvernement se trouvait.

Le trajet ne dura pas longtemps et très vite ils pénétrèrent dans le bâtiment, maîtrisèrent les quelques personnes qui s'y trouvaient et entrèrent dans le bureau de Mycroft sans prévenir au préalable. Le meneur des Black Mooniers s'adressa au plus vieux des Holmes d'une façon que Natasha trouverait déplaisante si on s'adressait comme ça à elle. Son interlocuteur répondit alors, la criminelle devait admettre qu'il avait de la répartie. Lorsqu'il posa sa question, elle ne put s'empêcher de prendre la parole, espérant qu'Harry n'y voit pas d'inconvénient.

-Pourriez-vous nous dire quelque petites choses sur ce cher James Moriarty ?

Elle s'était un peu avancée tout en restant tout de même proche de son patron, on sait jamais, peut être que toutes les personnes dans le bâtiment n'avaient pas été neutralisés.

-Moi c'est Natasha au fait. Ajouta t-elle avec un sourire.

Les ennemis de mes ennemis...

HARRY & MYCROFT & NATASHA

Harry lança un regard noir à Mycroft lorsqu'il cassa sa remarque. Il aurait bien commis un meurtre là maintenant tout de suite. Nonchalamment, il balança tous les papiers du bureau de Mycroft et s'installa dessus. Il sourit à l'intervention de Natasha. C'est vrai, Moriarty.

"Oh, mais vous croyiez peut-être pouvoir vous allier avec Moriarty sans qu'on s'en rende compte peut-être ? Est-ce que j'ai l'air d'avoir du temps à perdre, Mycroft Holmes ?!"

Oui, il l'aurait bien frappé là tout de suite, lui faire très mal, le faire encore souffrir, encore et encore jusqu'à ce qu'il se mette à le supplier de le laisser vivre. Ou il pourrait toujours tuer Sherlock. Nan. Il en avait besoin, c'était la clé de sortie de cet enfer. Si jamais il se faisait attraper, il menace de tuer Sherlock, la police appelle Mycroft, et Mycroft le libère. Harry attrapa un des dossiers traînant sur le sol et se mit à le lire.

"Ennuyeux." Et il le rebalança à l'autre bout de la pièce. "Vous n'avez pas répondu à la question de ma collègue. Je vais être beaucoup moins gentil. Si vous ne nous donnez pas immédiatement les informations que je veux, j'envoie quelqu'un décapiter votre petit frère et j'accroche sa tête sur le porte drapeau de Buckingham Palace ! Est-ce que c'est clair maintenant ?!"

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Harry J. KILLIGAN
Mycroft HOLMES
Natasha M. IERCHOV

L'homme regardait doucement la scène, et remarqua que la femme s'approchait avec sûreté. Il haussa un sourcil et la regarda d'un air... Eh bien son air d'habitude lorsqu'il est sur ses gardes. En savoir un peu plus sur James Moriarty ? Il ne l'avait pas vu depuis.... Et bien oui, depuis son apparition à la télévision et TOUS les écrans de Londres. Mycroft soupirait doucement et comptait répondre lorsqu'il entendit la rouquine dire son nom, qui laissait le Holmes complètement indifférent.

Puis se relança quand cette fois ci, c'était au tour du fou blond de se mettre en scène. Et oui, Holmes avait de la répartie. Ca le gênait tant ? Oh, mais c'est qu'il est vexé le petit blond. Mycroft retenait un sourire: et il avait bien fait car tous ses documents, ses papiers se retrouvaient à terre. Et il était hors de question qu'il s'y retrouve aussi. 

S'allier avec Moriarty ? Et puis quoi encore ? Lui laisser son numéro personnel peut être. Il secoua une nouvelle fois la tête et jeta un coup d'oeil à Harry qui lisait un de ses documents, c'était un vieux papier administratif, heureusement encore. 
Mais encore une fois, Mycroft restait de glace, et regardait l'homme qui avait menacé son frère. Encore. Il l'aurait bien tué à ce moment ci. Mais il ne fit rien.

Je ne vois pas du tout de quoi vous parlez.

Répondit-il tout simplement. Il regarda ensuite Natasha. Avez-vous vu Sherlock en pleine réflexions ? Lorsqu'il a vu Mary, il voyait pleins de détails passer. Et c'était ce qu'il se passait exactement avec Mycroft et Natasha :
Veuve, Russie, quarantaine d'années, espionne, criminelle, manque de confiance -qu'il trouve très intéressant d’ailleurs- secrets.

Il leva un sourcil. Se demandant pourquoi il arrive pas à voir beaucoup d'informations sur Harry. Peut être est-ce encore du au choc de son kidnapping. Mais lorsqu'il se sentira mieux, il trouvera son point faible. 

Pendant que je vous raconte tout cela, Mycroft avait évidement changer son regard, pour le diriger vers Harry, qui continuait à s'énerver pour un rien.

Les changements d'humeur chez Harry étaient très courants, Natasha ne réagit donc pas lorsqu'elle le vit commencer à saccager le bureau de Mycroft et à le menacer. Elle espérait bien entendu qu'il se calme avant de prendre une décision trop hâtive comme faire exploser le bâtiment avec eux à l'intérieur. L'autre génie ne semblait pas très réactif d'ailleurs, ça l'inquiéta, avait t-il prévu le cas où on l'attaquerait ? Avait t-il prévenu des renforts ? Elle ne savait pas si elle devait faire part de ses inquiétudes à son patron, après tout, il détestait être déranger lorsqu'il interrogeait quelqu'un et ça l'énerverait encore plus.

Elle attendit donc, en écoutant la conversation qui se déroulait entre les deux hommes. Elle se retint de rire lorsque Harry menaça de nouveau de tuer Sherlock. Non pas qu'elle ne l'en pensait pas capable mais l'idée qu'il venait de lancer, planter sa tête sur le porte drapeau était assez drôle. Il devenait de plus en plus inventif ! Le gouvernement, ou tout du moins, celui qui le représentait en grande partie, répondit qu'il ne voyait pas du tout de quoi il parlait. La criminelle savait qu'Harry allait mal réagir à cette réponse, elle espérait pouvoir adoucir la situation.

-Patron, je pense qu'il serait judicieux de garder votre calme, le tuer ne nous apportera rien et vous réfléchissez mieux lorsque vous êtes calme.

Elle resta à sa place, un peu éloignée du bureau et donc des deux hommes.

-Mr Holmes, je vous rappelle que des caméras avaient été placés ici, lorsque Moriarty est venu vous voir, il a tiré sur l'une d'elle après nous avoir directement menacé. De nombreuses choses nous indiquent que vous avez eu des contacts avec lui.

Elle s'arrêta un moment.

-Après tout, il n'est pas encore mort malgré tout les pièges que nous lui avons tendu.

C'est sur cette dernière phrase qu'elle s'arrêta totalement de parler, elle sortit son téléphone et envoya un message à l'un des membres de Black Moon afin qu'il renforce la sécurité autour du palais de Westminster, juste au cas où, ses inquiétudes de tout à l'heure s'étaient accrus.

Les ennemis de mes ennemis...

HARRY & MYCROFT & NATASHA

Harry essayait de garder son calme, mais certains signes ne trompaient pas. Les poings qui se serrent et de déssèrent, les sourcils foncés, la respiration haletante... Une tempête était sur le point de se déclencher. Aveuglé par la colère, Harry attrapa Holmes par le col et le plaqua violemment sur le bureau. Il pouvait sentir son propre sang battre dans ses tempes. Il détestait ça, ça lui donnait des mal de crânes pas possibles. De nombreux papiers et dossiers avaient volé dans sa chute. Et ces abrutis du gouvernement qui ne tarderait plus à se réveiller. Il allait falloir faire vite.

"Est-ce que j'ai l'air de plaisanter ?! Qu'est-ce qu'il a dit bordel de merde ?! C'est pas compliqué à comprendre comme question ?! Je te préviens, mon point fort, c'est la torture, si tu ne veux pas refaire une petit tour dans la cave de ma base, entouré d'explosifs, tu ferait mieux de parler. TOUT DE SUITE !"

Il le lâcha, puis envoya son pied dans le bureau. D'accord, ça lui fit plus mal qu'autre chose, mais ça faisait du bien. Il se tourna vers Natasha, lui sourit, avant de réattraper son imbécile d'intermédiaire. Il sortir un long couteau et lui plaça sous la gorge.

"Ne croyez pas que je vais vous épargner parce que j'ai besoin de vous. Le premier ministre pourrait très bien faire l'affaire."

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Harry J. KILLIGAN
Mycroft HOLMES
Natasha M. IERCHOV

Rien. Rien n'était prévu. Mycroft n'avait appelé personne,aucun agent, même pas la police. Il leva son menton vers la femme qui discutait. Très très intelligente. C'est rare de nos jours. Mycroft avait déjà connu une femme intelligente, Irène Adler. Enfin... Elle frôlait l'intelligence. Car elle était amoureuse, et cela, c'était d'une stupidité encore inconnue chez notre cher Iceman. 

Natasha s'approcha d'Harry pour le conseiller en quelque sorte de le calmer. Bien, elle semblait se soucier, se méfier. Avait-elle raison ? Avait-elle tord ? Mycroft semblait serrer son siège, stressé. Mais sa fierté ravala son stresse et il marqua une pause avec un soupir.

Moriarty ? Toujours pas mort ? C'était une bonne chose. Enfin, à moitié. Il aurait aimé qu'il ne soit plus présent, mais il est un excellent atout pour contrer un autre ennemi: Harry.

Etes vous sérieuse? Moriarty a tous les codes pour déclencher une bombe nucléaire. Vous pensez sérieusement qu'il n'a pas pu anticiper vos coups.

Il lança ceci en soupirant une nouvelle fois. Intelligente, mais quand il ne le faut pas. 
Mais il fut balancer parr dessus le bureau, sans trop comprendre comment ça s'était fait. Il eut tout d'abord un regard surpris. Le petit blond, malgré son gabari, se défendait horriblement bien. En parlant de ça. Vous avez vu Sherlock se battre ? Ce serait drôle de voir Mycroft en manieur de sabre.

Il le regardait. Il ne faisait que regarder. Avec son satané silence olympien qui pouvat énerver plus d'un. Qui pouvait rendre fou Harry. Plus qu'il ne l'est déjà. 

...

Humpf.

Sortit-il en pouffant, un sourire voulant se coincé entre ses lèvres, et qu'il retenait. Il devait ne pas sourire, sinon ça allait être pire. Mais c'était si drôle.
Encore une fois, je ne vois pas de quoi vous parlez. Et contentez vous du premier ministre, il ne connait absolument rien.
Il roula des yeux. Il devait avoir du respect pour lui, mais il était tellement stupide.

La réponse du représentant du gouvernement n'allait certainement pas convenir à Harry qui était déjà très énervé. D'autant plus que Moriarty s'était avéré ne pas avoir ces codes surpuissants qu'il avait dit avoir. Lorsqu'Harry plaqua Mycroft sur le bureau, elle voulut intervenir mais se stoppa. Elle ne devait pas les interrompre pour le moment, ça ne ferait qu'empirer la situation, elle devait trouver un moyen de résonner le blond. Ils n'étaient pas venus pour une information spécialement alors ils pourraient toujours revenir lorsque ce sera un meilleur jour pour le psychopathe.

Natasha tenta de garder son calme lorsque son patron attaqua le génie mais à l'intérieur elle paniquait légèrement, ça allait bientôt dégénéré si ça continuait comme ça. Elle devait trouver un moyen de résonner le criminel, ils avaient besoin de Mycroft et si il l'oubliait en cet instant, il allait le regretter ensuite. Il fallait bien qu'entre eux deux, l'un garde la tête froide et pense aux conséquences de leurs actions. D'autant plus que tout le monde, tout du moins dans le milieu criminel et gouvernemental, savait que le Holmes était bien plus important que le premier ministre et que, bien qu'il était plus difficile de l'atteindre, l'avoir était un bonus évident. La russe s'approcha du bureau et força son patron à lâcher l'homme qui travaillait pour le gouvernement, elle le fit ensuite reculer pour éviter que leur "cible" les entende.

-Est-ce que vous songez sérieusement à le tuer ? Vous savez très bien qu'on a besoin de lui !

Elle le fixa quelques instants, elle se demandait si elle n'aurait pas mieux fait de le laisser se venger un peu sur Mycroft histoire qu'elle et les autres membres de Black Moon n'ai pas à essuyer une de ses autre crise de rage.

-Voyez ce que vous voulez faire mais évitez de nous mettre dans le pétrin, si il a l'impression que vous êtes désespéré à ce point d'avoir des informations, il pourrait s'en servir contre vous.

De nouveau elle se demanda si elle n'aurait pas dû se taire, oui elle devait veiller à ce qu'Harry ne soit pas en danger mais de là à lui donner des conseils devant un ennemi ?
Elle espérait qu'il comprenne ce qu'elle avait voulu dire.

Les ennemis de mes ennemis...

HARRY & MYCROFT & NATASHA

Harry le tenait toujours en joue lorsque Natasha intervint. Elle le força à reculer, ce qu'il fit en grognant et marmonnant des insultes que seul lui connaissait. Il souffla un coup. Elle avait raison, ne pas laisser place à la panique était plus que nécessaire. Il se tourna vers Mycroft. "Dites-moi, vous voulez vraiment retourner dans la chambre noire pas vrai ? Je pourrai vous torturer de longues heures pour vous faire parler. Il n'y a aucun problème pour ça !"

Rester calme, on a dit. Il replaça le couteau dans le étui. Il se mit à tourner en rond dans la pièce, quand quelqu'un rampa dans la pièce. Une femme, en robe, certainement venu demander de l'aide à son patron. Harry sortit son arme, visa sa tête et l’abatis. Mauvaise idée, ça allait rameuter les flics. Mais ça faisait étrangement du bien. Il se dirigea vers le cadavre et la retourna d'un coup de pied. Il lança un regard à Mycroft.

"Vous voyez ce que ça fait quand vous me contrariez. Des gens meurrent. Tant que vous ne coopérerez pas, des tas de gens mourront un peu partout dans Londres de votre faute. J'espère que vous aurez ça sur la conscience pendant le restant de vos jours."

Il se tourna vers sa collègue.

"Nat, on bouge. Et vous, Holmes, j'vous enverrai un de mes agents avec les prochaines instructions. Oh, et si Moriarty passe, passez lui-bien le bonjour."

Il quitta le bâtiment d'un pas rapide, et partit attendre Natasha dans la voiture, énervé. A la base, il y en a qui ferait mieux de se sauver la queue entre les jambes.

FICHE PAR MA DOCKY D'AMOUR QUI ME MANQUE .W.

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Harry J. KILLIGAN
Mycroft HOLMES
Natasha M. IERCHOV

(Vais le faire, promis.)
BLABLABLABLA

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